Une nouvelle théorie concernant le Titanic

Une nouvelle théorie concernant le Titanic

Depuis des siècles, plusieurs mythes tournent autour de l’histoire de Titanic. Pour rappel, ce dernier, un bateau « insubmersible », a coulé dans la nuit du 14 avril 1912 et a causé plusieurs morts (soit près de 1500 personnes) après avoir heurté un iceberg. Plusieurs experts ont donc fait le trajet pour comprendre le véritable déroulement des évènements, sur place. La question que tous se posent est : comment un bateau aussi solide que le Titanic a-t-il pu finir au fond de l’eau ?

La théorie qui explique tout

Les premiers propos de cette théorie viennent du chercheur Senan Molony. D’après ce dernier, un énorme feu de charbon se serait déclaré quelques semaines avant le départ de ce bateau, au Royaume-Uni. Selon lui, ce feu aurait affaibli en très grande partie la structure du Titanic et surtout sa coque (la partie qui a été frappée par l’iceberg). Par conséquent, même les seize compartiments étanches étaient censés protéger le bateau, il n’a pas pu faire face à ce choc très violent.

Des photos qui en disent long sur la situation

C’est après la découverte et l’analyse des photos de cette construction navire, capturé par l’ingénieur en chef du projet à la Harland and Wolff, qu’il a pu avancer cette théorie. Cependant, lorsqu’on se concentre bien sur les clichés, on peut remarquer de très longues marques noires, qui mesurent environ 10 mètres, à l’avant et à la droite de la coque du Titanic. Et d’après les recherches faites par des ingénieurs de l’Imperial College London, ces marques, qui sont très importantes, ne peuvent être dues qu’à une incendie au niveau du réservoir de carburant. L’équation est donc très claire : du feu + une coque mise à mal + un choc très violent avec un iceberg = très peu de chance de survie pour le paquebot.

Une vérité dissimulée ?

Il est nécessaire de préciser que dans le documentaire Titanic, The New Evidence, Senan Molony affirme que les responsables du bateau ont assuré que l’incendie était de plus en plus faible. Ainsi, le personnel qui se trouvait sur le paquebot n’avait pas besoin de préciser ce détail aux 25 000 passagers, durant le voyage. Certes, durant les enquêtes, l’incendie a été mentionné plusieurs fois, mais les effets de celui-ci ont été minimisés. Molony pensait donc que les propriétaires du navire étaient conscients du danger, mais qu’ils n’avaient pas envie de suspendre ce premier voyage à cause du budget déjà alloué à ce projet.

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